Béatrice Moë Fouti-Loemba est fille de Pierre Ottiouvé dit Ngampe et de Zinga Mavoungou. Il sied également de souligner qu’elle est la petite-fille de l’illustre et célèbre nzonzi « juge traditionnel » de Pointe-Noire que fut René Mavoungou dit Koudet. Elle a quitté son Congo natal en 1985, peu avant sa majorité et à la faveur d’un premier mariage. De ce fait, il convient de souligner qu’elle a vécu la majeure partie de sa vie en France où elle a fait la connaissance du prince sacral François Moë Fouti-Loemba. En fait, après son divorce, elle s’est remariée avec celui-ci en 2006. De leur union, ils ont eu deux enfants. À l’évidence, Béatrice Moë Fouti-Loemba est manifestement une mère comblée, car de ses deux unions conjugales elle aura eu cinq enfants. Elle a cependant le profond sentiment d’être une femme accomplie, aux petits soins d’un homme généreux et fort attentionné qui, par ailleurs, l’aime d’un amour débordant.
En outre, sur le plan professionnel, elle est Aide-Soignante de formation et agent de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Rouen en France.
De cette relation, des plus harmonieuses et stables, de plus de deux décennies avec le prince sacral François Moë Fouti-Loemba, elle retient de son époux un homme loyal, respectueux, compréhensif, attentionné. En fait, les deux conjoints se complètent naturellement. En effet, il s’agit d’une relation conjugale basée sur la complémentarité. Ce qui, manifestement, constitue un atout majeur pour la réussite de leur couple. C’est ici donc l’occasion d’affirmer que Béatrice, la future reine du Loango, a vécu et continue de vivre le grand amour de sa vie avec le Ngaanga Mvuumba Moë Mpaka N’tukuni. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle est heureuse et très épanouie dans son ménage.
En somme, l’idéale condition sine qua non pour le couple princier a toujours été d’avoir de bons comportements et attitudes fondés sur la compréhension et respect mutuels. Pour ce faire, le futur couple royal entend vivre, autant que faire se peut, dans l’harmonie et la stabilité pérennes : c’est-à-dire dans l’entente, la joie, le bonheur et l’unité au sein de leur cellule familiale. Ceci en vue de concrétiser leur vœu commun de toujours, en tant que conjoints, de fonder un ménage harmonieux, stable et inébranlable quoi qu’il arrive, en vue de faire route ensemble toute leur vie durant. De ce fait, le futur couple royal pourra ainsi incarner un certain idéal conjugal et, en conséquence, être perçu aux yeux du monde comme un couple modèle sur le trône de Loango.
René Mavoungou Pambou
Bowamona Keb I Nitu
N Itu mbali wuta Lwaangu
Le couple royale ne donne pas bon exemple, alors que les coutumes et traditions vili disparaissent ils se marient comme des blancs voile blanche smoking en plus à l étranger c’est très grave. Ainsi que toutes ses photos contredisses l image que vous donner sur ce site. Que des photos en Europe bof lorsqu’on est une grande personnalité et un exemple social on fait attention à tous ce qu’on fait et dit pour que ça ne nous porte pas préjudice. Vraiment j ai parcouru tous le sites c’était génial ,mais en arrivant ici j’étais déçu. Le technicien en background s’il vous plaît soyez plus prudent car ce site permet d’honorer, valoriser, exporter le royaume loango partout dans le monde
Bonjour Monsieur, j’ai lu votre commentaire. « Le couple royal » dont vous dénoncer à tord n’est pas un couple royal car justement au moment où le prince sacral s’est marié, il n’est pas sacré Roi. Rappel, c’est le 23 juillet 2023 qu’il va être intronisé Roi du Royaume de Loango. Avant de critiquer, prenez l’habitude de bien lire et comprendre car la critique est facile et la connaissance des faits que l’on dénonce est souvent non maîtrisée. Bonne découverte du site et soyez prudent dans vos critiques et remarques désobligeantes. Tchissap
Vive ce beau couple royal et leur famille !